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mercredi 28 janvier 2015

DIAFRA SAKHO, quelle farce ?


Annoncé blessé par ton club pour une durée de 4 à 6 semaines, tu retrouves  les terrains et marques qualifiant ainsi ton West Ham de cœur. Alors qu’en ce moment là, notre équipe nationale peine à se qualifier dans la compétition continentale en Guinée Equatoriale. Tu t’es rétabli plus tôt que prévu. Peut être que les anglais ont une médecine miraculeuse, pour reprendre les mots du sélectionneur national, surpris par ton retour si vite. En tout cas, tu t’es foutu de nous. Par respect au peuple sénégalais, tu devais dire non à Sam quand il a voulu te faire entrer.
Nous avons bien pris le temps de lire ta publication sur ton compte facebook. Les commentaires, tu en as vu de toutes les couleurs. Et Cette phrase  a attiré mon attention : Ne doutez jamais  du lion qui sommeille en moi.
Dites nous une seule raison Diaf de ne pas douter de ton patriotisme, une seule. Ou bien alors tu ignores la définition du mot patriotisme, son sens réel. Un petit rappel alors : Le patriotisme, c’est défendre sa nation jusqu’au sacrifice suprême, c'est-à-dire la mort.
Actuellement tu dois avoir honte, toi qui criais tout haut que tu avais ta place dans cette équipe du Sénégal. Tu viens de réduire en néant tout le bien que les sénégalais pensaient de toi. Et ton acte nous a fait penser à Feu Jules François Bocandé. Qui ne se rappelle pas de sa belle leçon de patriotisme ?
Il a insulté un arbitre  pour retrouver ses coéquipiers en équipe nationale, avec comme souci de faire qualifier son pays. Le même week end de la rencontre de l’équipe nationale, son club, le FC Metz voulait le garder parce qu’ils avaient une rencontre de coupe de France. Il a pris ce carton une semaine auparavant pour venir qualifier son pays.  Oh, ESSAMAY nous manque. Des ESSAMAY nous en voulons pour que notre belle nation puisse briller encore et toujours.
Nous pensons aussi au cas CAVANI, en 2012 lors des éliminatoires de la Coupe du monde, il a préféré être licencié par son club que de ne pas répondre à la convocation de son pays. Pourtant son club était en course pour le titre.
Aujourd’hui, le même cas de figure s’est présenté avec toi. Mais malheureusement, tu n’as pas voulu suivre les pas de tes ainés. Au contraire, tu as préféré comploter avec ton club contre le pays qui t’a vu naître. Prétextant que tu es blessé et qu’il t’est même impossible de prendre l’avion. Tu ne peux pas prendre l’avion, Oui, mais tu peux monter dans une limousine, aller s’entrainer, participer à un match de cup et marquer pour ton club. Diafra, tu devrais être déclaré ennemi de la nation. N’est pas patriote qui veut.
Nul n’est indispensable, peut être tu l’avais oublié. Nous espérons que tu as d’autres arguments à faire valoir pour rectifier le tir. Si ce n’est d’ailleurs pas trop tard.
Comme disait l’autre : Le football est une balle en caoutchouc, une fois tombée, ça rebondit. La nation, une balle en vert, une fois tombée, ça se casse.
Comprendra, qui pourra.