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jeudi 22 mai 2014

Basket-Coupe du Maire (Garçons) : SIBAC et DUC complètent le carré d’as

Les quarts de finale de la Coupe du Maire de basket en garçons ont pris fin jeudi, avec les succès du SIBAC et DUC devant ASFA (61-59) et Gorée (68-49).

Les « Universitaires » ont dominé les deux premiers quarts temps, d’où ce score de (39-25) à la pause. Dans le 3e quart, les Goréens tentent de refaire leur retard, en étant plus agressifs en défense et appliqués en attaque. Ils parviennent à mettre 12 points dans ce quart contre 9 pour les Etudiants qui gardent la main (48-37). Le club estudiantin s’impose finalement (69-49). En lever de rideau, SIBAC a pris le dessus sur l’ASFA (61-59). Les Sicapois ont sorti le grand jeu dans le money-time. Douane, USO, SIBAC et DUC, sont les équipes qualifiées en demi-finales.

Résultats : ¼ finale Jeudi 22 mai
SIBAC – ASFA 61-59
Gorée – DUC 49-68
Mardi 20 mai
Douane – HBC 62-44

 USO – Mermoz 52-48

lundi 28 avril 2014

CHEIKH SARR, MAIRE : « GUÉDIAWAYE EST OUVERTE À L'ACTE 3 DE LA DÉCENTRALISATION »


Dans cet entretien, le maire de la ville de Guédiawaye, Cheikh Sarr, soutient que sa localité est prête pour la réforme des collectivités locales, plus connue sous le vocable d'"acte 3 de la décentralisation". Il évoque les difficultés relatives à la mise en oeuvre de cette réforme, l’impact de celle-ci sur le découpage des communes qui constitue un des problèmes majeurs à Guédiawaye.
 
Quel est votre regard sur l’acte 3 de la décentralisation ?
 
Nous pensons que la réforme est bonne. Il faut faire évoluer les textes dans la mesure où le code des collectivités locales a été configuré depuis longtemps. Cela signifie tout simplement qu’il y a des situations, il faut le dire, qui sont complètement dépassées.
 
Vous avez eu la chance de participer aux commissions de travail sur l’acte 3, quelles sont les difficultés rencontrées ?
 
Nous étions sous la contrainte de la chose électorale parce que le processus a été déclenché à un an des élections locales. Pour une réforme de cette envergure, il fallait prendre plus de temps pour que tous les acteurs soient impliqués mais aussi pour que la vulgarisation soit faite comme elle se doit. Nous pensons aussi qu’il fallait donner plus de prérogatives aux collectivités locales avec les moyens qu’il faut. En fait, nous avons des difficultés énormes pour assurer la délégation de pouvoir  parce qu’on nous a transmis les compétences sans nous donner les moyens nécessaires.
 
Est-ce que cette nouvelle réforme aura des impacts à Guédiawaye ?
 
Guédiawaye gardera son statut de ville. D’ailleurs, c’est assez relatif, le territoire du département épousant le territoire de la ville, la ville va assumer les prérogatives de conseil départemental. Mais, il ne faut pas oublier que nous avons cinq communes d’arrondissement à Guédiawaye et elles deviennent des communes à part entière, des communes de plein exercice.  Dans la loi qui a été votée, les prérogatives sont presque les mêmes. Ce sont les décrets qui vont déterminer la répartition des responsabilités. Sinon nous aurons des difficultés dans la mise en œuvre de ces lois. Ce qui veut dire qu’impérativement, il doit y avoir des changements au point de vue de la gestion quotidienne des collectivités locales entre la ville qui jouera le rôle du département et les communes d’arrondissement qui deviennent des communes. Il y aura aussi des impacts par rapport au budget. Au niveau du nouveau code, les ex-communes d’arrondissement vont voir renforcer leurs prérogatives en termes de recettes et des dépenses. Mais pour pouvoir appréhender et quantifier cet impact,  il faut impérativement que les décrets soient précisés afin que la différence puisse se faire entre la prérogative de la ville et celle de la commune. N’empêche, nous sommes prêts à l’accueillir parce que Guédiawaye est ouverte aux innovations. L’essentiel est que cela puisse être quelque chose de positif.
 
A votre avis, est ce que les populations ont été sensibilisées sur la réforme ?
 
La caravane du ministère de l’aménagement du territoire, des collectivités locales est passée par là pour sensibiliser la population. Mais, nous pensons qu’il fallait avoir plus de temps pour entrer dans le fond du débat.
 
Le découpage est un problème récurrent à Guédiawaye, est ce que cet aspect a été pris en compte dans les travaux ?
 
À un moment, au niveau du travail sur l’acte 3 de la décentralisation, il y a une commission qui était intitulée "cohérence territoriale". Cette commission  avait comme prérogative de revoir le découpage. Mais, à un certain moment, cet aspect a été évacué.  Il ne faut pas oublier  que, historiquement, Guédiawaye était avec Pikine dans un grand département. Dans le découpage, vous pouvez voir qu’à Pikine, il y a 16 communes alors qu’à Guédiawaye il n’y en a que 5. Il faut élargir les bases de cette ville parce qu’elle n’est pas grande. La population dépasse 500 000 habitants. Dans ce petit territoire, nous pensons qu’une extension serait bénéfique à Guédiawaye. 

GUÉDIAWAYE : LA DÉMARCHE PARTICIPATIVE COMME MÉTHODE DE GOUVERNANCE.

"Réfléchir, planifier et exécuter ensemble", tel est le crédo du maire de Guédiawaye, Cheikh Sarr, depuis son arrivée à la tête de la ville en juin 2011. Un bel exemple de démocratie participative
Erigé en département depuis 2002, Guédiawaye avec ses 5 communes d’arrondissement (Wakhinane Nimzath, Ndiaréme Limamoulaye, Médina Gounass, Sam Notaire, Golf Sud) est le plus petit département du pays (12 km²). Pour mener à bien ses projets, le maire  de cette ville et son équipe ont choisi d’impliquer la population dans le processus de prise de décision.  Ils optent pour une méthode participative comme outil de gouvernance. Pour le maire, Cheikh Sarr, "on ne peut pas s’enfermer dans un bureau pour régler les problèmes des populations". Il a la "ferme conviction" que "c’est avec l’implication des populations que les politiques vont être appliquées"
 
M. Sarr a par exemple institué la journée d'études municipale. Cette rencontre annuelle est destinée à la préparation du budget de la ville de Guédiawaye. A cette journée, toutes les entités sont invitées à y prendre part : les imams, les délégués de quartier, le mouvement sportif, le mouvement culturel, les experts résidant à Guédiawaye, en plus des services de la ville. À l’occasion de cette consultation, les participants discutent de la répartition du prochain budget de la ville.  
 
En ateliers, ils mettent en évidence les aspects sociaux, les finances locales et les questions institutionnelles. Les conclusions servent de base pour le document d’orientation budgétaire. Une manière pour le maire  d’avoir l’avis de tous. « Cette activité que tout Guédiawaye connait maintenant nous permet d’avoir les avis de toutes les entités sur la manière dont elles veulent voir le budget », laisse entendre le maire, Cheikh Sarr. Pour lui, il est important que les quartiers expriment leurs besoins. « Nous mettons les populations locales au centre de ce que nous faisons parce que nous avons la conviction qu’il faut qu'elles expriment leurs besoins avant que nous ne cherchions à les satisfaire », explique M. Sarr. L’autre objectif visé par les autorités, en faisant intervenir les entités, est la transparence dans la gestion des affaires de la cité. « Nous invitons régulièrement les associations à venir assister aux réunions pour le vote du budget même si elles ne participent pays aux débats », poursuit Cheikh Sarr.
 
A Guédiawaye, le budget est disponible en permanence. Les autorités s’activent à ce que les populations aient la possibilité de le consulter. En partenariat avec l’université de Toulouse, la municipalité a mis en place un système d’information géographique qui permet à la population d’avoir toutes les informations concernant la ville.  C’est dans ce cadre qu’un portail d’informations a été confectionné et le budget ainsi que les informations sur tous les projets sont disponibles à travers ce lien :  "www.guediawaye.org. Pour le maire, c’est pour être conforme avec le code des collectivités locales qui prévoit que tout citoyen a le droit de consulter les délibérations". Il ajoute que« le document du budget est un document public. Il peut être consulté partout, au niveau du cabinet, au niveau du secrétariat. Tous les conseillers ont un document qu’ils peuvent mettre à la disposition des populations. »

jeudi 27 mars 2014

Lettre ouverte au Président Macky sall : Le 25 mars 2014, le peuple voudrait savoir si vous êtes toujours sûr de pouvoir conduire le bateau ?

Après un chaud semestre de contestations de la troisième candidature de l’ancien président Abdoulaye Wade,  le peuple sénégalais a cru sortir du tunnel avec l’élection du Président Macky Sall. Ce fut l’alternance de l’alternance et une autre page s’est ouverte pour ce beau peuple qui s’est levé, uni et déterminé, pour se défendre et reprendre avec hauteur ce qui lui était dû : Son honneur.

Le peuple a ainsi montré sa maturité et le soir du 25 mars 2012, vous fûtes porté à la tête du Sénégal. Avec beaucoup d’espoir, nous vous avions confié notre destin, notre devenir et vous aviez promis d’en prendre soin et de faire avancer le pays.
Monsieur le président, Le 25 mars 2013 vos  laudateurs nous interdisaient de faire un bilan. « C’est encore trop tôt » nous disaient-ils.  A un an, il était difficile pour vous de faire le bilan d’un mandat qui est de sept ans (même si nous attendons encore que vous respectiez votre promesse de le ramener à cinq).  Mais, le temps est passé, les mois, les semaines, les jours passent et nous sommes  toujours là à attendre encore et encore.  Et pourtant, les impressions sont là monsieur le Président.  
Apparemment, votre réalisation majeure reste la traque de bien supposée mal acquis, vous tenez coute que coute à remplir les caisses que vous prétendiez  trouver vides. Vous êtes prêts à tout, même à sacrifier le principe de présomption d’innocence des accusés. Je dis vous car vous êtes le seul garant des bavures et errements de la justice du pays que nous vous avons confié. Je dis vous par ce que nous savons aussi que la traque est un feuilleton politico-judiciaire.
Sur le plan social, vous vous glorifierez sans doute d’avoir diminué les couts du loyer, mais à quel prix ?  Avec la manière où cette diminution s’est opérée sans aucun consensus avec les bailleurs, vous avez crée la discorde et aujourd’hui de nombreuses familles peinent à trouver un toit. Vous avez diminué le loyer sans participer à la réduction des couts des terrains ou des matériaux de construction. Ainsi, vous avez pensé aux locataires en oubliant les bailleurs et les conséquences ne se feront pas attendre.
Monsieur le Président, je refuserai de voir dans votre bilan que vous fassiez vos éloges sur la réduction des prix des denrées alimentaires car vous n’avez rien diminué, vous avez juste ramené les prix au stade où ils étaient en 2010.
Je n’oublierai pas que vous nous avez laissé assoiffés pendant des semaines et toute la région de Dakar était exposée à toutes sortes de maladies. Pour cela, monsieur le président, vous nous devez encore des excuses.
Monsieur le Président, Voila que la fièvre Ebola est se trouve dans nos frontières à un moment où nos médecins sont en grèves depuis plus de deux mois et aucun consensus n’est encore trouvé par vos services. Attendrez-vous que nous soyons envahis pour enfin chercher le dialogue ?
Monsieur le président, des enfants talibés sont morts calcinés et vous aviez promis de revoir l’organisation des daras et tous les enfants seront retirés du milieu hostile de la rue. La loi qui vous a précédé devait être mise en application mais vous avez cédé à la vindicte des lobbies que je n’appellerai pas maitres coraniques. Ainsi, monsieur le président, vous avez bafoué les droits de ces enfants.
Vous parlerez surement encore de plan Sénegal Emergent  mais je ne sais pas s’il faut espérer encore et jubiler pour un endettement qui peut être ne fera que retarder d’avantage notre envol.
Monsieur le président, vous nous aviez promis la bonne gouvernance et la sobriété mais à juste deux ans, nous avons constaté le retour de l’arrogance et de l’ostentatoire. Les gens de votre cour méprisent royalement la souffrance des sénégalais et jettent des billets de banques par terre pour vous plaire à vous et régaler vos griots à vous.
Monsieur le président, dans la hâte, vous avez  entamé une réforme des institutions, vous avez lancé l’acte trois de la décentralisation, mais pour tous ses deux projets si importants, vous avez oublié l’essentiel. La pertinence et la faisabilité. Ainsi, nous fonçons tout droit vers des élections locales qui seront sans aucun doute mouvementées et énigmatiques.
Monsieur le président, deux ans après le 25 mars 2012, la patrie n’est toujours considérée avant le parti. Pire, vous semblez mener la politique de votre famille et belle famille à l’échelle supérieure, votre parti vient après, votre coalition s’en suit et le pauvre peuple qui vous a donné tous ces pouvoirs  ferme la marche.
Monsieur le président, rien n’est encore perdu, il vous reste encore au moins trois ans si vous respectez votre promesse.
Monsieur le président, n’écoutez pas ceux qui concocteront un document de cent pages pour y présenter vos  soit disantes réalisations, refusez qu’ils vous voilent la face et ne vous montrent que la partie qu’ils jugeront dorée de votre magistère.  Evitez de tomber dans le même piège que vos prédécesseurs à la fin de leur mandat où ils ignoraient tout de ce que vivait le peuple d’alors.
Refusez cela car les temps ont évolué et les mentalités aussi. Ce peuple là qui vous a élu n’est pas prêt à vous laisser faire les mains liées. Ce peuple là veille sur son gouvernail.
Enfin monsieur le président, ce peuple vous demande encore si vous êtes toujours sûr de pouvoir conduire le bateau ?
Aminata NDIAYE

jeudi 13 mars 2014

Mbeubeuss, dans le monde des ordures.


Ouverte en 1968, la décharge de Mbeubeuss, située dans la banlieue, à Malika, abrite toutes les ordures de la région du Cap – Vert, Dakar.  Défis écologiques, risques sanitaires …  telles sont les menaces qui pèsent sur les épaules de ceux qui fréquentent les lieux et les habitants du quartier.

Cette partie du département de Pikine amasse et entasse tous les déchets que rejette la société consommatrice. A notre arrivée vers 11h, en ce jour de dimanche, une odeur asphyxiante et nauséabonde  nous accueille. Il faut se boucher le nez avec un mouchoir pour échapper à une toux soudaine. Les camions défilent les uns après les autres pour décharger leurs ordures. Malgré le courant d’air froid, des  jeunes, des femmes et même des enfants s’activent à la fouille, récupération et revente des fers, bouteilles, cartons etc. Ils sont plus d’une centaine à fréquenter  Mbeubeuss qui s’étend sur 175 hectares. « Je fréquente ici depuis presque 7ans et je tire toutes mes ressources dans ce travail. Je nourris toute ma famille avec l’argent des ordures .» nous dit Amadou Diop, ce cinquantenaire trouvé sur les montagnes de déchets. Non loin de lui, on aperçoit un groupe d’enfants, habits en haillon, entrain de fouiller dans les ordures. « Nous venons souvent ici pour chercher des ferrailles qu’on va ensuite revendre. Il y a des gens qui les achètent juste à l’entrée.» nous souffle Mamadou Gueye, élève en classe de 5ème secondaire. Avec sa taille moyenne et son teint noir, Mamadou fugue les cours pour venir se faire de l’argent dans cet endroit qu’il aime bien.
Les nombreux risques de Mbeubeuss n’ébranlent guère ces occupants qui y passent tout leur temps. Vêtu d’un boubou bleu sombre et tenant un sac sur son épaule droite, Gora Gueye, 28 ans, sait que sa présence sur ces lieux comporte des risques. « Nous savons qu’il y a des risques énormes mais nous sommes obligés de cohabiter avec ces dangers. C’est vraiment un mal nécessaire. » laisse t- il entendre. Trouvé plus loin, au milieu des montagnes de déchets, Sayer Fall, masque de protection sur le visage, avec des gans qui couvrent les mains, est conscient lui des menaces. «  Puis que nous ne pouvons pas quitter ces lieux, il faut cependant se protéger avec les moyens de bord pour se prémunir des dangers. », nous explique t- il.
Dans ce dépotoir, même s’il n’est pas facile d’y travailler, les récupérateurs y gagnent beaucoup. En face des monticules de déchets, dans une des cabanes, allongeant le long du site, se trouve Abdou Khouma, teint noir, taille moyenne, avoisinant la trentaine, qui a quitté famille et proche pour s’installer définitivement à Mbeubeuss. « Je suis là depuis cinq ans et je m’en sors plutôt bien malgré les conditions précaires dans lesquelles nous travaillons. Il m’arrive de gagner 3000 à 5000 f CFA par jour. Sincèrement je ne me plains pas du tout.», déclare t-il. En face des cabanes, sont garés des camions vides. Selon A. Khouma, des entreprises viennent souvent ici pour acheter les objets  récupérés à des prix vraiment intéressants. Ces camions vont transporter les objets déjà récupérés pour le recyclage dans les usines.
Le bonheur des uns fait le malheur des autres. A Mbeubeuss, les riverains crient nuit et jour leur désarroi. Ils se sentent menacés par les dangers auxquels  leurs familles encourent tous les jours. Le ronronnement des camions qui se défilent toute la journée dérange la quiétude des habitants. Assise devant son domicile, à quelques centaines de mètres du dépotoir, une maison à 2 étages, Fatou Kiné Diallo, la quinquagénaire, raconte leur calvaire : «  Tous les jours, nous faisons des va et vient entre l’hôpital et la maison. Et tout ça à cause des déchets avec lesquels nous vivons ». Selon cette mère de famille, le district sanitaire de Malika ne reçoit que des malades issus des alentours de Mbeubeuss. Les nombreux cas de tuberculose hantent le sommeil de ces gens qui pensent tout leur temps à veiller et à nourrir leurs progénitures. Pour la plupart, l’Etat doit fermer ce dépotoir et le transférer ailleurs parce que l’endroit est trop proche d’eux. « Nous avions organisé une marche pour nous faire entendre mais jusqu’ à présent nos revendications ne sont pas prises en compte. » nous explique Maimouna Diop, sacoche à la main.
Un souhait vite battu en brèche par certains récupérateursTout en sueur, le vieux Moustapha Dieng, vêtu d’une tenue de travail, se défend : « C’est impensable de délocaliser ce site vu qu’il nous rapporte beaucoup de choses mais aussi à l’Etat qui en tire des bénéfices. Délocaliser Mbeubeuss ne doit pas être à l’ordre du jour, il y’a des choses plus importantes». « Même l’Etat ne peut pas trouver un endroit meilleur qu’ici. » poursuit son compagnon, Abdoulaye Diop, la cinquantaine bien sonnée.

Mbeubeuss avec ses monticules de déchets doit il disparaitre ou non ? En tout cas, le moment est venu pour que les autorités prennent des mesures énergiques pour protéger les habitants contre cette bombe écologique.

vendredi 14 février 2014

Ligue 2 : 6ème journée : Le Choc Douanes – Assur en attraction

La 6ème journée de ligue 2 du championnat professionnel va se jouer ce week end avec des duels importants. La rencontre AS DOUANES – ASSUR sera l’attraction de cette journée.

Dans la poule A
Le leader Etics (1er, 13 Pts) fera le déplacement au stade Alassane Djigo de Pikine pour rencontrer le Guédiawaye F.C (4ème, 7 pts). Lors de la précédente journée, l’équipe de la banlieue avait un réalisé un bon coup en surprenant le Cneps à Thiès sur le score d’un but à zéro. 
Pour cette journée, le Cneps (8ème, 2 pts) va croiser le fer avec l’U.S Gorée (3ème, 7 pts) au stade Demba Diop. Les insulaires n’ont pas droit à l’erreur après l’humiliation à Vélingara face au Kawral (3 – 0). Le nouveau promu, Kawral (6ème, 5 pts) est très attendu à Kaolack contre l’AS Saloum (7ème, 3 pts) après sa belle prestation à domicile. Les kaolackois, seule équipe avec le Cneps, à n’avoir pas remporté le moindre match, doivent montrer un nouveau visage pour espérer se relancer avant les phases retour.
Au même moment à Dakar, la Renaissance de Yoff (6ème, 6 pts) et le Dakar Sacré Cœur (2ème, 10 pts) vont s’offrir en duel. Le DSK doit remporter ce match pour rester coller derrière le leader, Etics.

Dans la poule B
Le choc AS  Douanes (3ème, 7 pts) – Assur (2ème, 8 pts) sera l’attraction de cette 6ème journée. La défaite est interdite entre Gabelous et Sucriers pour éviter de rester loin du leader, la Renaissance de Dakar (1er, 9 pts). Le leader ira à l’assaut de Tengueth F.C (5ème, 5 pts) qui cherche toujours ses repères dans ce championnat.
 L’autre choc de cette 6ème journée opposera le Ndiambour et le Bargueth. Les lougatois du Ndiambour sans leur coach, Assane Diallo ( qui a démissionné après la défaite contre Assur ) auront du pain sur la planche face à une équipe de Bargueth en confiance( 4ème, 7 pts). 
Toujours dans le nord, le Ndar Guedj (7ème, 4 pts) recevra à St – Louis le Dahra (8ème, 3 pts). Les deux derniers de la poule en quête d’une première victoire devront livrer un beau duel.
Programme 6ème journée
Poule A :
Dimanche 16 Février 2014
Renaissance de Yoff – Dakar Sacré Cœur
A.S Saloum – Kawral
GFC – Etics
Lundi 17 Février 2014
U.S Gorée – Cneps
Poule B :
Dimanche 16 février 2014
Ndiambour – Bargueth
Lundi 17 février 2014
Ndar Guedj – Dahra
A.S Douanes – Assur
Mardi 18 février 2014
Tengueth FC – Renaissance de Dakar



mercredi 12 février 2014

L’ADIE accueille les étudiants en 2ème année du CESTI

L’Agence De l’Informatique de l’Etat (ADIE) a accueilli, mardi, les étudiants en 2ème année du Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI). Une visite qui rentre dans le cadre de la nouvelle politique entamée par la direction des études depuis quelques années.

Après la visite de la matinée à la Commission de protection des données personnelles, les étudiants du CESTI se sont rendus au technopôle qui abrite les locaux de l’Agence de l’informatique de l’Etat. Du projet GIRAF (Gestion intégrée des Ressources, Administrations et des Fonctionnaires de l’Etat du Sénégal), à la plateforme démarches.gouv.sn en passant par l’audit biométrique, les étudiants en journalisme ont tout découvert. 

Le GIRAFE est un projet qui consiste à la mise en place d’une application de gestion des ressources humaines de la fonction publique. Ce projet financé par l’Union Européenne à la hauteur de 421,5 millions de francs Cfa permettra aussi de mettre en place un fichier unifié des données des agents de l’Etat.
En ce qui concerne l’audit biométrique, c’est la dernière phase qui est entamée. Cet audit a permis de noter certaines irrégularités. Ainsi, trois paniers ont été constitués : dans le panier vert figurent les fonctionnaires qui sont en règle, dans le panier jaune, on y trouve les personnes à qui on doit vérifier certaines informations et enfin le panier rouge qui regroupe les personnes irrégulières. 

Avec cet audit, l’Etat du Sénégal verra la masse salariale réduite considérablement et les fonctionnaires de l’Etat seront maitrisées.
Autre projet piloté par l’ADIE, la plateforme démarches.gouv.sn. Cette plateforme permet aux citoyens d’avoir des informations dans les domaines de leur choix en un clic. C’est un site qui permet aussi aux citoyens de se renseigner de l’actualité du pays. 

En plus, le site demarches.gouv.sn donne la possibilité de télécharger des fichiers administratifs, des formulaires. Selon Mamadou Ndiaye, formateur au Cesti, l’ADIE devrait trouver un nom typiquement sénégalais pour éviter une ressemblance avec le modèle français. Une pensée d’ailleurs partagée par le technicien chargé d’expliquer le projet, Mayoro Fall. Selon ce technicien, le site n’est pas encore lancé et trouver un nom qui colle à la réalité est une bonne initiative.

L’ADIE participe véritablement à l’efficacité de l’administration du Sénégal. 

mardi 11 février 2014

Mouhamadou LO, Président de la Commission de Protection des Données Personnelles “Il y’a une bonne protection du système d’information au Sénégal “


Le Sénégal utilise une technologie qui est la même qu’aux Etats Unis et dans les autres pays, il y’a une bonne protection du système d’information au Sénégal, a déclaré, mercredi, le président de la Commission de protection des données personnelles (Cdp), Mouhamadou LO. Il accueillait les étudiants en 2ème année du Centre d’études des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI).

Le Cesti a renoué avec ses traditionnelles sorties pédagogiques entamées depuis quelques années. Pour cette année, les étudiants en 2ème année ont effectué leur première sortie dans les locaux de la Commission de Protection des données personnelles dirigée par Mouhamadou LO. Ce dernier a déclaré que le Sénégal ne figure sur aucune liste noire. Les pays qui sont sur la liste noire sont ceux qui ne présentent pas les garanties de protection  des données personnelles qu’on y transfère. Le Sénégal n’en fait pas partie. Sinon les centres d’appels européens n’allaient pas transférer des données personnelles de leurs citoyens dans un pays qui n’est pas sûr. « La protection des données est une culture. Si les mesures de sécurité adéquates sont prises, il n’y a aucun problème », ajoute Mr LÔ.

La Commission de protection des données personnelles, a participé à restaurer la confiance des investisseurs au Sénégal. Selon la directrice des affaires juridiques et du contentieux, Yaye Fatou Camara Niang, les enjeux de la protection des données dépassent nos frontières.
Cependant, rappelle Mr LÔ, « le risque zéro n’existe pas ». « La protection des données est une culture. Si les mesures de sécurité adéquates sont prises, il n’ y a aucun problème. Le Sénégal a mis en place une loi d’orientation et un cadre normatif pour lutter contre le piratage des données personnelles», souligne le président de la Cdp.


Créée en 2008, c’est simplement en décembre dernier que la commission de protection des données personnelles a démarré ses activités qui consistent à protéger les citoyens contre l’utilisation abusive des données les concernant.

lundi 3 février 2014

Ligue 2 : 4ème journée : ETICS s’envole, GFC se signale

La 4ème journée de Ligue 2 professionnelle est marquée par les victoires de l’ETICS  et du GFC respectivement face à Dakar Sacré Cœur et Kawral de Vélingara, ce week-end. Les mborois occupent la 1ère place de la poule A, le GFC signe son 1er succès de la saison.
 En déplacement à Mboro, Dakar Sacré Cœur (2ème, 9pts), a essuyé sa 1ère défaite de la saison, en s’inclinant face à l’expérimentée formation de l’ETICS (0-2). La formation mboroise reste leader de la poule A avec 12 pts + 7. Au même moment, son voisin thièsois, le CNEPS a réalisé une bonne opération en ramenant le point du nul de son voyage à Dakar face à la Renaissance de Yoff (0-0). Les Yoffois restent à la 4ème place devant le Guédiawaye F.C qui a signé son 1er succès.
Au stade Alassane Djigo de Pikine, les banlieusards ont dominé le Kawral de Vélingara sur le score de 2 buts à 0. Talla Mbaye a marqué son 1er but sous ses nouvelles couleurs. Le deuxième but est l’œuvre de Mouhamadou Dieng qui a ouvert lui aussi son compteur de buteur. Avec cette victoire, le GFC est remonté à la 5ème place . Au paravent, le Saloum avait tenu en échec l’U.S Gorée (2-2) en match avancé.
Dans la poule B, la Douane (1er, 6pts) est toujours leader malgré son match nul contre le Dahra (0-0). Mais, elle peut perdre son fauteuil mardi, si la Renaissance (2ème , 5pts +2) et Bargueth (3ème, 5pts +1), remportent leur duel face à l’ASSUR (4ème, 5pts +1) et Tengueth FC (6ème).
Enfin, le Ndiambour de Louga stagne à la 5ème place, après son nul face à Ndar Guédj (0-0). Dahra (2pts) est lanterne rouge du groupe.
Résultat 4ème journée avancée
Poule A
Gorée – Saloum 2-2
RS Yoff – CNEPS 0-0
Etics – Dakar Sacré Cœur 2-0
GFC – Kawral 2-0
Poule B
Douanes – Dahra 0-0
Ndar Guédj – Ndiambour 0-0
Mardi 4 Février
Au Stade Demba Diop
Tengueth F.C – Bargueth
Renaissance – Assur
Classement : 4ème journée avancée
Poule A : 1er ETICS (12pts+7), 2ème Dakar Sacré Cœur (9pts+2),3ème Gorée (7pts+4), 4ème RS YOFF (5pts -3), 5ème GFC (4pts -1), 6ème Saloum (2pts -3), 7ème CNEPS (2pts -3), 8ème Kawral (2pts -3).
Poule B : 1er Douanes (6pts +3), 2ème Renaissance (5pts +2), 3ème Bargueth (5pts +1), 4ème ASSUR (5pts +1), 5ème Ndiambour (5pts -1), 6ème Tengueth (3pts -1), 7ème Ndar Gueth (3pts -1), 8ème Dahra (2pts -3).

samedi 1 février 2014

La mort de l’étudiant Balla Gaye commémorée dans la divergence

La commémoration de la mort de l’étudiant Balla Gaye a été célébrée dans la division, vendredi,  à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Beaucoup de scènes de violences ont été constatées.

« 13 ans déjà », pouvait- on lire sur les tee – shirts des étudiants venus en masse pour commémorer la mort de leur camarade Balla Gaye. Mais en lieu et place d’une cérémonie de prière à la mémoire du défunt, c’est des scènes de violences qui ont été constatées. A L’origine, l’accord signé entre le gouvernement et les délégués des différentes facultés. Au moment où certains étudiants voulaient s’adresser à leurs camarades, d’autres sont intervenus avec des jets de pierre pour les en empêcher. Il s’en est suivi une bataille rangée entre étudiants. C’était le sauve qui peut. Pour Elimane Badji, Président de l’Amicale des étudiants de la Faseg, la signature du protocole d’accord par certains étudiants est à l’origine de ce mouvement d’humeur. « Des étudiants illégitimes qui ne représentent rien dans leur faculté ont signé le protocole d’accord. Ce qui n’engage qu’eux» poursuit l’étudiant. Une partie d’étudiants accusent les étudiants signataires du protocole d’accord avec le ministre de traitre. Ils  ont sommés les journalistes de ne pas prendre en interview les étudiants qu’ils appellent « les traitres ». « Seul les traitres se connaissent » répond Ndéme Dieng, porte parole du collectif des étudiants. Ce dernier déplore les perturbations dans la commémoration de la mort de leur camarde. « C’est désolant de constater après la mort de Balla Gaye en 2001 des scènes de défaillances. C’est parce qu’il y’a des gens animés de mauvaise foi ».
« La Police Universitaire réclamée »
Dépassés par les événements, certains étudiants déplorent le comportement de leurs camarades. Selon Moussa Touré, coordonnateur de la liste «  Frère Marron » à la FLSH, les étudiants ont encore montré leur bassesse. « Avec ce qui s’est passé ce matin, nous avons montré à quel point des intellectuels peuvent se transformer comme des irréfléchis » poursuit notre interlocuteur. Pour Moussa Camara, les étudiants sont entrain de donner des raisons valables à l’autorité  qui veule installer une police universitaire. « Si les étudiants n’arrivent pas à se comporter comme des adultes, comme des intellectuels, nous sommes d’accord à ce qu’on mette la police » ajoute le coordonnateur de la liste « Frère marron ».  Elimane Badji, appellent ses frères à l’union. « Nous appelons à une prise de responsabilité de la part des étudiants et des autorités administratives et rectorales pour une année scolaire apaisée » laisse entendre le président de l’amicale de la Faseg.
Pour rappel, l’étudiant Balla Gaye est décédé le 31 janvier 2001 d’une balle à la suite d’un mouvement de grève réprimé par les forces de l’ordre   .

jeudi 23 janvier 2014

Ligue 2 : GFC, Ndiambour et Saloum en quête d’un 1er succès


Après deux journées jouées, certaines formations tardent toujours à décoller. C’est le cas du Guédiawaye FC, de l’AS Saloum, du CNEPS de Thiès et du Kawral de Vélingara dans la poule A et du Ndiambour de Louga, du Dahra et Ndar Guedj dans la poule B.

Relégué en Ligue 2 la saison dernière, le Guédiawaye FC n’a toujours pas enregistré le moindre point depuis le début du championnat. Les hommes de Moustapha Seck se sont inclinés (2-0) face au Dakar Sacré Cœur lors de la 1ère journée avant d’être surpris à domicile au Stade Alassane Djigo de Pikine (Le Stade Amadou Barry étant en réfection) par l’US Gorée sur la plus petite des scores (1-0). Cette mauvaise performance s’explique  d’une part par l’absence de quelques cadres de l’équipe dont les deux recrues nigérianes, Thomson et Kingsley qui ne sont toujours pas qualifiés.
Tout comme le club de la banlieue qui compte 0 point au compteur, l’AS Saloum n’a toujours pas trouvé ses repères dans ce championnat qu’il fréquente depuis 4 saisons. Le club Kaolackois a perdu ses deux premières rencontres respectivement face à l’ETICS (2-1) et devant RS Yoff (1-0). Ce début de saison timide peut trouver sa réponse dans la crise qui secoue le club depuis le départ du président sortant, Bounama Dièye. Avec les ambitions de la nouvelle équipe dirigeante, les kaolackois peuvent espérer voir un autre visage de leur club qui  accueille Guédiawaye FC pour le compte de la 3ème journée. Un duel des mal classés qui s’annonce palpitante entre les deux formations en quête d’un 1er succès après 2 journées. Pour rappel, l’A.S Saloum a raté de justesse la relégation en National 1 la saison précédente.
Mieux que leurs poursuivants directs, le promu Kawral de Vélingara et le CNEPS de Thiès comptent chacun 1 point au classement à l’issue de la 2ème journée. Après le point du nul obtenu lors de leur face à face de la 1ère journée, les deux formations ont été surprises respectivement par l’ETICS (1-0) et le Dakar Sacré Cœur (2 -1) pour le compte de la 2ème journée. Ces deux équipes qui ne comptent pas jouer les seconds rôles dans ce championnat doivent se refaire une santé dés la prochaine journée. Le Kawral (6ème, 1pt)  recevra à Vélingara la Renaissance de Yoff (4ème, 3pts). Au même moment, le CNEPS (5ème 1pt) accueillera son voisin l’ETICS (3ème 6pts) qui est sur une bonne lancé avec deux victoires en autant de sortie.
Dans la poule B, les nordistes Ndar Guedj, Dahra et Ndiambour se partagent le bas du tableau avec chacun un point. Le Ndiambour de Louga qui a raté de peu la montée en ligue 1 la saison dernière, n’a toujours pas trouvé les arguments nécessaires pour contrer ses adversaires. Après un match nul et vierge lors de la 1ère journée contre la Renaissance de Dakar, l’équipe du promoteur de Lutte, Gaston Mbengue a lourdement chuté face à l’A.S Douane (3-0) lors de sa seconde sortie. Les Lougatois doivent rectifier le tir dés la prochaine journée pour se réconcilier avec leur public. Ils recevront le Tengueth F.C (4ème, 3pts) qui a remporté sa dernière sortie face à Ndar Guedj (3-2).
Même situation pour le Dahra qui occupe l’avant dernière place du classement avec un seul point après le match nul lors de cette 2ème journée face à l’ASSUR. Les anciens coéquipiers de Fidel Gomis (meilleur joueur sénégalais évoluant dans le championnat local, prix décerné par l’ANPS) ont du mal à s’imposer en ligue 2 et devront montrer un autre visage s’ils veulent retrouver l’élite ou se maintenir. Pour la 3ème journée, le Dahra croisera le fer avec la Renaissance de Dakar (5ème avec 2pts).
Promu en Ligue 2 cette saison, Ndar Guedj (6ème 1pt) se trouve dans la même situation que son homologue de Ligue 1, la Linguère. Le novice avait pourtant bien démarré en tenant en échec l’AS Douane (1ère 4pts) avant de se faire surprendre par le Tengueth FC (3-2). Les Saint-Louisiens ont toujours les cartes en main pour se relancer dans la course. Lors de la prochaine journée, Ndar Guedj se rendra à Richard Toll pour croiser le fer avec l’ancienne pensionnaire de la Ligue 1, l’ASSUR (3ème, 4pts). Les « Samba Linguéres  » auront du pain sur la planche face aux sucriers qui cherchent à revenir dés cette année dans l’élite. 

Programme  3ème journée
Samedi 25 et Dimanche 26 janvier 2014
Poule A
Dakar Sacré Cœur – Gorée
Cneps de Thiès – Etics
A.S Saloum – Guédiawaye F.C
Kawral – Renaissance de Yoff
Poule B
ASSUR – Ndar Guedj
Dahra – Renaissance de Dakar
Ndiambour – Tengueth F.C
Bargueth – A.S Douane





mardi 21 janvier 2014

Guédiawaye F.C, ça ne décolle toujours pas.

Deux matchs, deux défaites. Le Guédiawaye F.C a été encore défait lors de la 2ème journée du championnat de L2 professionnelle sur le score d’un but à zéro (1 – 0) face à l’US Gorée qui conforte sa place de leader.

 Relégué en L2 lors de la défunte saison, le Club de la Banlieue tarde toujours à décoller. Après la défaite concédée lors de la 1ère journée face au Dakar Sacré Cœur (2 - 0), il a raté sa deuxième sortie ce week – end à domicile au Stade Alassane Djigo de Pikine (le stade Amadou Barry étant en réfection) face aux insulaires sur la plus petite des marques (1 – 0). Avec ce nouveau revers, les hommes du coach Moustapha Seck partagent la dernière place du classement avec le club kaolackois, Saloum qui a perdu ses deux sorties. L’équipe du Président Djamil Faye ne manque pas pourtant les moyens pour jouer les grands rôles dans ce championnat. En tout cas, si le GFC compte vite revenir dans l’élite, il faudra qu’il montre un autre visage.  Avec les trois points obtenus à l’extérieur, l’U.S Gorée conforte son fauteuil de leader après sa victoire écrasante face au R.S Yoff sur le score de 4 buts à 0 lors de la 1ère journée. Elle est suivie par le Dakar Sacré cœur et l’ETICS qui partagent le même nombre de point.

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